Lundi : Jazz
Mardi : Electro, IDM, Ambient,
Mercredi : Musique du monde et d'ailleurs.
Jeudi : Musiques expérimentales, Power electro, Harsh noise, drone, doom, dark ambient. country, death-industrial
Vendredi : Pop music
Samedi : Proto-punk, Punk, Post-punk
Dimanche : Musique classique, néo-classique et contemporaine.

dimanche 20 juillet 2014

Gustavo Santaolalla - Camino

Vous êtes exigeant, vous avez raison.  Vous voulez du néo-classique de haute volée? Du subtil? Du singulier? avec de la ronroco? Du récent? Du cinématographique? Du sublime qui ne soit pas romantoc? Pas de problème j'ai le disque qu'il vous faut.

Lien Spoty

Néo-classique, Musique contemporaine, Musique du monde from Argentine, 7 juillet 2014

35 commentaires:

  1. ah oui lui c'est déjà une plus grosse pointure :) chez les impressionistes argentins, mon chouchou reste alejandro franov qui mixe ethno/folk/ambient /neo-classic/electronic selon les besoins/projets (encore que lui aussi a fait deux albums pianotants -hihi- melodia et solo piano)

    il y a en quelques uns sur bandcamp depuis qu'il est distribué au japon par naturebliss, par exemple
    https://naturebliss.bandcamp.com/album/aquagong

    sur spotify il y en a quelques uns taggés 2013-2014, mais ils sont plus vieux que ça dans l'ensemble, c'est juste la date où nature bliss les a repris pour distribution numerique

    commencer par "khali" (2007) sur staubgold, une carte de visite multikulti/multicolore assez fab
    http://open.spotify.com/album/01Hbew9DEgDA7CSW1Mr9pf

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  2. Excellent album ce "Camino" et merci a rototo pour le "khali", un beau voyage.

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  3. Beaucoup aimé Khali également.

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  4. Je suis paumée dans les genres musicaux...Même si ça n'a pas grande importance, je ne vois pas ce que Camino a de neo-classique... et ça n'a aucune commonalité avec Silene stenophylla...
    Je ne sais pas si c'est de haute-volée, mais j'aime beaucoup Camino...ah du subtil.. du singulier...non ce n'est pas parce que tu as écrit ça que je trouve ça très bien...(mais ça me rassure quand même un peu sur mes choix...)

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  5. Néo-classique a deux sens l'un désigne le courant historique de l'entre deux guerres (Poulenc, Bartok, Ravel...) L'autre désigne la musique populaire qui emprunte à la musique classique... là la guitare est plus musique classique que world ou jazz comme parfois chez Piazzolla ... Il vaudrait mieux parler de musique contemporaine mais je préfère réserver le terme pour des musiques plus difficiles d'écoutes (et donc moins populaire)

    Gustavo Santaolalla est aussi un membre fondateur de Bajofondo
    http://open.spotify.com/album/0ajrl96QETMiLmTXeit8zY


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  6. Bajofondo, je viens d'écouter, c'est assez hétéroclite..

    Tu utilises très peu le tag "musique contemporaine" dans ce que tu postes et pourtant des musiques pas faciles d'écoute il y en a quand même un petit nombre sur ton blog. Quel est l'exemple de muisque contemporaine difficile d'écoute pour toi ?

    Le terme musique populaire me rend perplexe... la musqiue de variété c'est de l amusique populaire ?

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    1. J'en ai quand même classé 47 en musique contemporaine... Pour être classé en musique contemporaine, il faut quand même un côté musique classique (que je n'entends pas dans le harsh, le drone ou le free jazz ni même parfois dans la musique expérimentale). L'archétype de la musique contemporaine pour moi c'est le couple Couvoisier-Feldman, http://open.spotify.com/album/43MNJ4AfebwENkswApD77t

      En même temps il ne faut pas trop prendre les étiquettes au sérieux, c'est juste pratique pour s’orienter. Généralement les musiciens n'aiment pas qu'on leur colle des étiquettes comme si on les enfermaient dans un truc pré-existant alors qu'ils cherchent à inventer du nouveaux.

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  7. oui oui la musique de varieté c'est de la musique populaire ça s'oppose à musique savante qui généralement est écrite sur des partitions... Piazolla et John Zorn emprunte beaucoup à la musique populaire, c'est pourquoi il n'y a pas non plus d'opposition franche.

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  8. Sachant que c'est dans la musique ni écrite ni populaire qu'il y a le plus de vrais "savants" aujourd'hui ! Merci pour Santaolalla, je désespérais qu'il ressorte un album depuis le génial Ron Roco, ses BO pour les films d'Inarritu tournent régulièrement, merveilleux.

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    1. In the Hall of Mirrors de Zorn est une pièce totalement écrite qui n'a laissé pratiquement aucune place à l'impro et qui par le côté jazz du trio est néanmoins populaire... Bon c'est vrai à part Zorn je n'en connais pas tant que ça de vrais savants

      J'ai eu un peu peur d'en faire trop en quelques lignes sur ce disque... Tu me rassures.

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    2. Beau disque en tout cas, pas de classique du calibre d'Iguazu ou de la BO de Carnets de voyage mais ses mélodies et son jeu de guitare sont toujours désarmants, rien à jeter chez cet Argentin.

      Sinon des "savants" il y en a des tas quand même, dans l'IDM, le post-rock, le drone ambient et j'en passe... Autechre, Tortoise, Machinefabriek ça vaut bien respectivement Stockhausen, Steve Reich et Pierre Henry non ?

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    3. Si tu mets de côté le jugement de valeur que recouvre le terme savant (A minima, Je préférerais dire qu'ils ont du génie) Je trouve que le travail sur la musique n'est pas de même nature... Stockhausen, Steve Reich et Pierre Henry sont des compositeurs qui sont et seront joués après leur mort ce qui n'est pas le cas d'Autechre, Tortoise et Machinefabriek, à moins d'imaginer d'horribles tributes bands... Ça n'enlève rien à Autechre, Tortoise et Machinefabriek qu'on n'aurait quand même du mal à classer en musique pop. Du coup l'opposition musique savante/populaire n'est pas une opposition suffisamment fine pour parler des musiques d'aujourd'hui

      C'est comme certains musiciens en musique expé qui n'aiment pas qu'on dise que c'est de la musique expérimentale parce que ça laisse entendre que ce serait du bidouillage improvisé et hasardeux alors qu'au contraire elle est très pensée et parfois très écrite et ne laisse parfois rien à l'improvisation des musiciens... C'est à mon avis la grosse différence entre la série Composer chez Tzadik et la nouvelle série Spectrum (qui laisse plus de place aux musiciens et aux improvisations) sans qu'on n'ait de raison de valoriser plus l'une que l'autre.

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  9. Si ces musiciens ne seront pas joués après leur mort c'est surtout parce que leur musique n'est pas écrite donc pas facilement proposée à la réinterprétation, et que les softwares et autres pièces de matériel très certainement uniques utilisés par au moins deux d'entre eux tiennent une part trop importante dans le rendu de leur musique pour laisser à qui que ce soit une chance de l'imiter. C'est aussi parce que la culture de la musique classique même contemporaine n'est pas la même que celle des musiques dites expérimentales, où le compositeur est aussi celui qui interprète l'oeuvre (pourquoi vouloir passer derrière l'original dans ce cas, si n'est dans l'optique de réappropriation des reprises ?), tandis que les compositeurs de classique contemporain ne sont bien souvent "que" des compositeurs (on les réinterprète donc pour essayer de faire mieux que la précédente interprétation). Après il n'y a strictement aucun doute sur le fait que "penser" la musique d'Autechre demande un degré de science musicale au moins égal à n'importe quel supposé génie du classique contemporain, avec ce travail sur le son en lui-même pour grimper encore d'un degré dans la complexité. Pour moi associer encore aujourd'hui le terme de musique "savante" (que je mets toujours entre guillemets simplement parce que je ne l'aime pas, au fond) à Stockhausen mais le refuser à Autechre relève de l'automatisme sans fondement, c'est de la musique écrite donc ça demanderait forcément un degré supérieur de science musicale ? Franchement, même moi je connais le solfège. Quant à Tortoise, pour les avoir vus à plusieurs reprises en concert, il faudrait être un jazzman d'avant-garde de classe mondiale pour jouer ça.

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  10. Oui mais pour moi l'erreur que tu fais c'est justement d'y voir un jugement de valeur... La musique du Corniaud est de la musique classique écrite par Georges Delerue, pour illustrer un film populaire... alors musique savante ou musique populaire? Je dirais plutôt musique savante.... pour moi ce n'est pas le degré de complexité qui fait la musique savante... Je dirais le fait qu'elle soit d'abord écrite, l'érudition du compositeur et son statut... Si Christophe Maé écrivait une musique de film, j'aurais bien du mal à la considéré comme de la musique savante. Delerue, Legrand, Morricone, Santaolalla, John William, pas de problème... même si leur musique est souvent jouée par des élèves de 1ére année (ou presque) de conservatoire.
    Encore une fois je trouve que la différence musique pop/ musique savante est intéressante sur le plan historique mais pas forcément pertinente pour Autechre and co...
    Tu parles de degré supérieur de science musicale... mais ce qui fait la scientificité de n’importe quelle discipline c'est la répétabilité des expériences... avec des variables quantifiables...
    Ça marche pour Reich et même John Cage mais ça marche moins pour Autechre...
    Et encore une fois ça n'enlève rien à Autechre...
    Pour ma part je valorise plus que tout le caractère vivant de la musique, la singularité, la complexité, l'improvisation, les recherches sur le son et sur l'histoire de la musique et des instruments de musiques, l'innovation... Et puis la musique d'Autechre n'est pas qu'intellectuelle elle me semble plus sensorielle et me fait beaucoup plus vibrer que celle de Stockhausen... Si la musique de Tortoise était basé sur des algorithmes mathématiques jouée par des robots programmés par des savants, peut-être que ça me toucherait moins. La musique savante est parfois ennuyeuse, on n'aurait tort de la valoriser outre mesure.
    Nos sociétés valorisent de toute façon trop l'écrit (ou l'art dans les musées) et pas assez l'expérience vivante et intersubjective. L'interaction entre musiciens me semble aussi intéressante que l'interprétation d'une œuvre écrite

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  11. Le problème c'est que ton interprétation musique savante = musique écrite par opposition à musique non écrite n'est pas celle des musicologues, qui y voient une forme de musique basée sur des théories complexes écrites ou non (incluant donc parfois le jazz et une certaine frange autoproclamée sérieuse des musiques expérimentales contemporaines comme l'acousmatique) et en excluent par simple inculture ou manque d'affinité quasiment tout ce qui ne peut être étiqueté "classique contemporain". A leur yeux cela implique forcément un jugement de valeur même s'il est hypocritement nié, ce qui n'est bien sûr pas mon cas mais utiliser encore aujourd'hui cette opposition musique savante/musique populaire sans inclure dans la première catégorie les formes savantes modernes que sont l'IDM, le drone ou autres me paraît pour le moins absurde. Une musique écrite peut être innovante, sensorielle et vivante (cf. au hasard Stravinsky, récemment repris par The Bad Plus et dont l'influence sur John Zorn n'est plus à prouver) comme une musique improvisée peut être chiante et coulée dans le formol.

    Pour la musique savante Wikipédia parle de considérations structurelles avancées, je ne connais pas beaucoup d'artistes dans l'histoire de la musique capables de rivaliser avec Autechre sur ce plan. D'ailleurs s'il ne s'agit pas de musique écrite car le beatmaking et les textures se traduisent difficilement sur une portée, c'est une musique fortement pensée et composée sur des softwares complexes, très loin de l'improvisation live qui prévaut dans le harsh noise ou le jazz notamment, ce qui fait à mon sens d'Autechre un groupe plus proche de l'esprit de la musique classique contemporaine écrite que ne pourrait l'être le jazz. C'est pourtant ce dernier que l'on choisit arbitrairement d'associer à ces musiques "savantes" dont les musicologues ont visiblement arrêté la définition aux années 60...

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    1. Pas faux... La musicologie forme des concepts et des outils qui marchent peut-être plus facilement pour le classique contemporain que pour le drone et l'IDM... Je constate souvent que ceux qui développent des outils et des concepts pour parler musique sont parfois difficilement capable de sortir de leur domaine de compétence. La plupart du temps les critères qui sont valable dans un style musical ne vaut parfois rien dans un autre...

      Quant à ceux qui excluent de leur recherche ces musiques là, ils estiment peut-être qu'ils ont déjà assez de boulot avec ce qui les intéresse. Le monde de la musique est tellement vaste
      Peut-être faudra-t-il attendre les jeunes générations de musicologues qui seront plus ouverts...

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    2. "Pour la musique savante Wikipédia parle de considérations structurelles avancées" oui mais wiki y inclue aussi la musique minimaliste... Comme d'hab avec wiki tu trouve toujours tout et son contraire... compare avec la page wiki consacrée au minimalisme (la partie Critique et analyse) et tu verras que ce que les musicologues pourraient reprocher au drone et aux musiques immersives, ils le reprochaient déjà au minimalisme alors qu'aujourd'hui ça passe mieux parce que considéré comme "classique contemporain"... La frontière musique pop/musique savante a toujours été mobile, ce sera pareil pour les musiques immersives.

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    3. Sûrement, d'autant qu'aujourd'hui de plus en plus d'artistes font ouvertement le pont entre musiques "académiques" (classiques contemporain) et musiques expérimentales non écrites (drone/ambient), et se rattachent eux-mêmes plus volontiers à la seconde catégorie en dépit d'une maîtrise de l'instrumentation classique plus coutumière de la première.

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  12. Est-ce qu'il faut intellectualiser la musique à ce point ?... ça me fait fuir...

    http://open.spotify.com/track/0lmEfAoRKBSJbZAv5aNNsp

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    1. Si intellectualiser permet d'augmenter le plaisir que nous avons à écouter de la musique, pourquoi pas. Le plus souvent c'est aussi inutile que d'expliquer une bonne blague. Et puis ça dépend aussi comment c'est fait... Comme la visite guidée dans les musées, parfois c'est passionnant parfois non, ça dépend beaucoup de celui ou celle qui fait la visite.

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    2. J'avais testé Jabu mais un peu embêté par la non intégralité du streaming pour le retenir

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    3. En l'occurrence on théorisait plutôt sur la classification de la musique. Mais nier la part d'intellect qu'il y a dans l'appréciation d'un disque, moi c'est ça qui me fait fuir.

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    4. Héhé j'ai lu sur le forum que tu ne courrais pas non plus après les livres de musicologie et qu'internet te suffisait largement... Je pense que c'est plutôt ça qui fait fuir Val (la musicologie)

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    5. Si la plupart des musiques d'aujourd'hui n'ont pas besoin de la musicologie pour être apprécié je pense que ce n'est pas le cas de toute les musiques... et même certaines musiques d’aujourd’hui s'apprécient mieux quand tu connais le contexte théorique dans lesquelles elles prennent place... Comme pour l'art conceptuel qui joue parfois sur le caractère déceptif sur le plan sensoriel... soit pour mieux jouer sur notre imaginaire soit pour entrer en résonance ou au contraire se moquer de la philosophie

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  13. Pour la visite guidée dans les musées je suis tout à fait d'accord avec toi, suivant la personne ça peut être soit passionnant soit un bide intégral. Ce qui me gêne c'est de devoir avoir une explication pour être touché, comprendre,...
    Pour la poésie c'est un peu pareil, combien de gens y sont hermétiques parce qu'ils ne comprennent pas, alors qu'il ne s'agit pas de comprendre...

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  14. Bien sûr qu'il faut comprendre, même émotionnellement c'est une compréhension qui ne s'acquiert pas forcément par l'intellectualisation comme tu dis mais au moins par l'expérience. Il ne t'est jamais arrivé d'être hermétique à un album et d'y revenir 5 ans plus tard en ayant la révélation, simplement parce que ton parcours d'écoute dans l'intervalle te permet désormais d'apprécier ce que tu ne pouvais pas "comprendre" jusqu'ici faute d'affinités ? Quand on est coutumier des musiques "expérimentales" c'est une expérience que l'on vit forcément, des musiques difficiles d'accès deviennent faciles d'écoute après que l'on soit passé par d'autres musique "intermédiaires".

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    1. Je ne crois pas que ce soit le problème de Val... Pendant longtemps je n'ai pas intellectualisé la musique la considérant simplement comme la bande son de ma vie... J'empruntais jusqu'à plus soif des disques en bibli... que je revienne sur un disque 5 ans plus tard en le classant dans la pile je garde ne change rien à l'affaire... ça se complique quand tu commence à discuter avec d'autres personnes....

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    2. ... et que ces autres personnes ne sont pas forcément d'accord... Tant que t'es dans un rapport j'aime/j'aime pas seul avec toi même... T'as pas besoin d'intellectualiser... Pour moi Autechre pendant des années c'était juste une pochette noire sans titre... Je ne savais absolument rien du duo ni qu'ils étaient anglais ni pourquoi ni comment... Seulement par moment c'était la bande son parfaite... Par contre le jour où tu dois écrire une chronique, là t'es bien obligé d'intellectualiser le truc... ne serait-ce que pour expliquer à ceux qui n'y comprennent rien ce que toi tu y trouves et pourquoi il font ça et comment ils le font.

      Pour moi l'évolution de mes gouts musicaux ne vont pas de pair avec l'intellectualisation sinon je n'écouterais plus de musique punk décérébrée...

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    3. Pour la poésie comme pour l'art contemporain, tu peux le vivre sans te poser dix milles questions... en revanche dès qu'il s'agit d'en parler un peu sérieusement ne serait-ce que pour essayer que tes enfants y prennent goût c'est une autre paire de manche.

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    4. Oui ça doit être la déformation du chroniqueur alors ! En tout cas je sais toujours dire ce qui me plaît ou pas dans un album, sans avoir à forcer la réflexion, ça parle aussi naturellement au cerveau qu'aux sens en ce qui me concerne...

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    5. Ca se corse, déjà parce que ça va être ma 3eme tentative de vous répondre à partir de ma awful tablette... Et ça se corse aussi quand je mis les échanges...

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    6. A partir de demain je ne pourrais plus répondre non plus...

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    7. Pour conclure je dirais que l'intellectualisation est à double tranchant... d'un coté, dans la perspective d'une chronique, l'écoute est plus riche et plus fine, de l'autre, le lâcher prise est plus facile. Pendant les concerts ça m'arrive de penser à ce que je vais écrire sur mon blog... c'est parfois un peu pénible... même si parfois c'est amusant. D'un autre je regrette de n 'avoir gardé aucune trace de tous les concerts que j'ai vu ado. Certains concerts, je ne me rappelle même plus les noms des groupes.

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    8. Je répondrai fin août, fraîche et reposée, bonnes vacances!!!

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